Rosé in the heart of winter? Nomadic cuisine in love with it...

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Très tendance, le nomadisme culinaire incite nos papilles à voyager presque quotidiennement autour de la planète.
Oublions les frimas et attardons-nous autour des saveurs asiatiques ; quels vins choisir pour accompagner nos échappées épicées ?
Coriandre, gingembre, piments, curcuma, safran, cannelle, menthe, cardamone … autant d’occasions de discorde pour un vin rouge, à l’exception, par exemple d’un Gamay fringant sur un garam masala d’agneau.
Certains vins blancs sont capables de relever ce défi : un Riesling-Sylvaner avec un émincé de poulet au gingembre, un vin blanc doux avec des crevettes pimentées. L’acidité discrète et la saveur délicate d’un Chardonnay ou d’un Pinot Blanc apprivoisent aisément le croustillant des peaux d’un canard laqué, et le sucré-salé de la gastronomie chinoise.
Quant aux rosés, frais, aromatiques, gourmands, ils sont nés pour s’entendre avec les épices. Capables de déjouer tous les pièges des cuisines asiatiques : sucré-salé, acide-amer, piments, agrumes, coco, rien ne les effraie.
Un doute ? Dégustez notre Songe Rose, ou notre Blanc de Noir avec votre prochain curry thaï. Qu’il soit vert, rouge ou jaune, mijoté dans du lait de coco et rehaussé de pluches de coriandre ou de basilic rouge, il est en fusion totale avec les notes fruitées et florales du rosé.

Toutefois, noyer le feu de plats pimentés à l’excès peut s’avérer périlleux : la bière, mais aussi le champagne se révèlent alors de bons alliés. Et en cas de tempête, mieux vaut encore opter pour … le thé.

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La saison est au « papet vaudois »

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